La fin du monde de l'an 25
C'est plus d'une fois, depuis l'an 1000, qu'a été annoncée la fin catastrophique de notre pauvre monde... Elle est fixée à ce jour à 9 heures du soir précises, selon des prophètes ultra-voyants liepājans ou libauiens. Cependant, Margaret Rowen, une jeune américaine, prédit que le Christ reviendrait le 6 février 1925  1925 : Une jeune fille de Los Angeles, Margaret Rowan, a eu une vision dans laquelle l'ange Gabriel lui est apparu et lui a annoncé que la fin du monde aurait lieu à minuit le 5 février 1925 (le vendredi 15). Parmi les croyants de l'histoire de Rowan, on trouve le peintre en bâtiment Robert Reidt de Freeport, Long Island, qui a fait paraître « de grandes annonces dans les journaux de New York appelant les fidèles à le rejoindre sur une colline à l'heure du jugement dernier ». De nombreuses personnes, toutes vêtues de robes de mousseline blanche, se sont présentées avec Reidt pour attendre le jour du jugement dernier. À l'heure dite, elles ont toutes levé les mains en l'air et crié : « Gabriel ! Gabriel ! Gabriel ! » Comme rien ne se produisait, Reidt a affirmé que « la fin » frapperait à minuit, heure du Pacifique plutôt qu'à l'heure normale de l'Est. Trois heures se sont écoulées et toujours rien ne s'est produit. Alors que les disciples déconcertés partaient, Reidt a imputé l'absence de Gabriel aux journalistes qui avaient utilisé des flashs pour prendre des photos de l'événement. Apparemment, les éclairs avaient en quelque sorte effrayé le saint messager de Dieu. extrait du site Encyclopedia of Seventh-Day Adventists ., que le monde se terminerait à minuit le 13 février cette même année, normal c'est un vendredi 13.
Margaret Rowen
Les fins du monde auxquelles l'humanoide a échappé, et celles à venir.
Les conseils cinématographiques de La Bignole : La sortie du film "Paris, qui dort ", ou "le rayon diabolique", qui sera projeté ce soir, 6 février, pour la première fois en public et dans lequel un savant fou a paralysé le monde à l'aide d'un rayon avec comme conséquence, le vol de La Joconde. Le billet d'entrée est autour de 3 euros. L'annonce du film au cinéma Omnia Pathé
Sinon, La Bignole vous propose à regarder la " Cité foudroyée ", la destruction de Paris par le " Rayon ardent " avec l'effondrement de la Tour Eiffe, l'ncendie de l'Opéra, et l'anéantissement de la Madeleine, c'est gratuit.
Et pour finir,
En images, la fin du monde pour les Très Riches : un club privé avec IA, piscines, matériel médical… c'est le concept "Aerie", le bunker de luxe pour milliardaires. Ce bunker souterrain de l’apocalypse servira de sanctuaire fortifié et ouvrira la voie à un nouveau réseau mondial révolutionnaire. Mais il faudra survivre encore un peu, ce n'est pas pour tout de suite. La société Safe est bienvenue dans le monde fantastique, mais un tantinet dystopique, des Crésus des temps modernes. Pour remonter sur terre, le conseil cinématographique de La Bignole : Crésus. Pour suivre le conseil de La Bignole, le film.
Monsieur Al Corbi, Président et Madame Naomi M. Corbi, infirmière autorisée en Colombie-Britannique, creuseurs et vendeurs de "corbinières". D'autres proposent des abris sous terre, moins chers dans la mise en œuvre et plus abordable pour les acquéreurs potentiels... Les noms de ces programmes immobiliers : «la Taupinière»",«la Blaireautière»... les sujets de la fin du monde pour les pauvres son innombrables, la liste est trop longue, La Bignole sort son drapeau blanc... enfin presque, il y a malgré tout de quoi sourire.
L'ère du futur parfumé s'ouvre - en avant vers le passé : « Porter des jeans plus de 15 jours, c'est n'importe quoi ! » . Les conseils de l'Ademe (Agence de la transition écologique) ne passent pas... (francebleu). L'objectif : baisser la consommation d'énergie et d'eau, et limiter l'usure des vêtements, et La Bignole prédit, à l'intention des modeuses et modeux, une tentative du retour du "grunge" est compromise, en vertu du vertueux, en images
Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, ADEME, une agence étatique en France, et la mode selon Egonlab.
Les moyens :
- Vêtement de sport porté 1 à 3 fois. «C'est comme la braderie des Jeux Olympiques avec la vente de nombreuses pièces textiles comme les uniformes des volontaires, du staff ou des officiels, des t-shirts et des serviettes utilisées par les athlètes, mais ça rapporte» , selon une concierge, qui souhaite rester anonyme
- Soutien-gorge porté 7 fois : "Sept fois ? Beurk, quelle horreur ! Au bout de trois jours il faut que j'en change. C'est un sous-vêtement, on le porte à même la peau alors que l'on transpire, c'est impossible de le garder plus d'une journée, surtout dans mon métier" s'exclame Hélène, coiffeuse à Plan de Campagne. Avec ou sans fanons, les sous-tifs.
- veste en cuir-daim portée 1 an : " Heureusement, cela ne me concerne pas. Je suis végane et ne porte que des cirés jaunes, même si on les appellent "Ostfriesennerz" ( note de La Bignole : le vison des frisons de l'est )" , selon une locataire qui désire rester anonyme, du 3 ème étage de l'immeuble où la concierge souhaite rester anoyme. Le locataire du dernier étage, sous les combles, s'est, quant à lui, exclamé « je ne lave jamais mon cuir ». Afin d'éviter de pouvoir identifier la demoiselle du 3 ème et la concierge, La Bignole ne révèle pas l'identité de l'ancien rocker sous les combles.
- Jean porté 15 à 30 fois : "Il ne faut pas exagérer. Si vous portez 15 à 30 fois le même pantalon au boulot, je ne vous dis pas les réflexions" , selon Marissa
- top en coton porté 4 à 5 fois : " ce n'est pas comme les tampons réutilisables en coton, qu'ils faut laver à chaque usage, après 4 à 5 heures d'utilisation, alors autant profiter de la machine " , selon une ménagère anonyme
- pyjama porté 1 semaine : : "Sept nuits, c'est trop. On transpire dans un pyjama, on ne porte pas de sous-vêtement en dessous", selon Slam. Sa compagne précise avec un léger sourire au coin : " je ne porte que des nuisettes ou..."
- pull en laine porté 10 à 15 fois : " s'il vous plaît, n'évoquez pas le lavage des pulls en laine devant mon mari, la première fois que les ai mis dans la machine à laver après notre emménagement (rire nerveux), la température n'était pas la bonne, résultat, ses pulls en laine sont devenus des pulls pour des nains de jardin. Depuis c'est lui qui s'occupe de la lessive " , selon G... qui attend devant une laverie automatique, dans laquelle J...s'agite
- sous-vêtements portés 1 fois : " je ne réponds pas à ce genre de question " , selon une jeune fille dans la rue, qui dégaine son smartphone pour consulter le résultat de ses ventes de produits affinés depuis plusieurs jours
- robe portée 4 à 6 fois : " porter une robe plusieurs fois ? Mais, vous n'imaginez pas ! Moi, avec mon rang, dès que je porte une robe en public une fois, la deuxième fois c'est trop. Alors je la donne (rire, et en chuchotant : je les mets en vente sur...), si c'est moi qui l'ait acheté. Mais en principe, je n'ai pas ce genre de soucis, les couturiers adooorent me prêter une tenue. Savoir, si ils les lavent après chaque usage où s'ils ils prêtent 4 à 6 fois la même robe usagée, ceci n'est pas de mon domaine et je n'ai pas trouvé la réponse dans la presse " selon une ministre, de passage dans la ville où la concierge veut rester anonyme.
Pendant l'interview, une voix masculine non identifié s'est élevé dans la foule : " Et mon fute, qui n'est pas en jeans, je le lave comment ? Heureusement que j'ai été à l'armée. «Mouillé, c'est lavé, séché c'est propre». Les filles n'ont qu'à faire autant avec leurs chiffons "
L'exception française : laver les sous-vêtements une fois par jour. Sinon il reste le vente de petites culottes usagées, paraît-il ça rapporte.
Le résultat : ça dépend de chaque pif. Pour lire sans commander, même gratuitement, les recommandations pour schlinguer et là, faire le ménage écolo
Et si l'humanité a esquivé les 6 et 13 février, La Bignole vous donne rendez-vous, le 9 février pour l'édition du week-end. En attendant, elle espère que vous avez souri à la lecture de ce petit kaléidoscope de l'actualité des derniers jours, mais pas pour la dernère fois. Même si, la fin de notre système de société est nommée, "Théorie de l'effondrement" ou "Collapsologie", donc reconnue, au Journal Officiel depuis le 16 juillet 2021.
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