les infos de la Bignole

27  08 mai 2024   ..

D'une part, le 08 mai 1945 célèbre la fin de la Seconde Guerre mondiale, la victoire des Alliés et la défaite de l'Allemagne. Ce n'est pas très élégant pour nos voisins, dont presque aucun n'a participé à cette triste période. Aujourd'hui, il y a l'amitié franco-allemande, qui n'a été célébrée qu'une seule fois, le 22 janvier 2019. Et puis quoi... à part quelques événements organisés, quelques discours politiques, quel est l'intérêt de cette « mascarade » ? Un devoir de mémoire, pourrait-on répondre. Malheureusement, l'être humain a la mémoire courte, il ne suffit pas de commémorer les victoires des uns ou les défaites des autres pour éviter les conflits. Si c'était le cas, il y a longtemps que nous vivrions en paix sur cette terre. L'actualité, en Europe, au Moyen-Orient ou en Asie n'en est qu'un exemple désolant...

D'autre part, il y a tant de « journées mondiales ou internationales », pour des revendications sérieuses, parfois;  pour des raisons qui peuvent faire sourire, souvent, journée de π "pi" le 7 mars et le 22 juillet, journée de la masturbation le 07 mai, journée des micro- petites et moyennes entreprises le 27 juin. La Bignole en passe et des meilleures... Elles sont reprises de temps à autre par les médias pour leur donner un caractère plus ou moins "officiel", pour qu'elles ne tombent pas dans l'oubli, ou afin de les faire connaître. Cependant, la constante dans toutes ces journées c'est que la majorité des populations s'en contrefiche... Un petit discours, une allusion par-ci par-là, trois petits tours et puis s'en vont.

Alors La Bignole, ce 08 mai 2024 a décidé de célébrer la Journée Mondiale de l'Âne initiée par Alexander Aretz. Ce n'est pas plus saugrenu, certains penseront "moins" que la journée internationale des blogs le 31 août, la journée internationale de la traduction le 30 septembre, la journée internationale des banques le 04 décembre ou celles citées plus haut ; d'autres considéreront peut-être que ça l'est plus (saugrenu). A chacun de méditer sur le sens de ces "journées internationales ou mondiales", de ces commémorations, du devoir de mémoire ou d'oubli. Il n'en reste pas moins que l'âne a été domestiqué par l'humain il y a quelques millénaires, probablement avant le cheval, qu'il a été un animal très utile et qu'il peut encore l'être.

texte en anglais enOn the one hand, May 08, 1945 celebrates the end of the Second World War, the victory of the Allies and the defeat of Germany. This is not very elegant for our neighbors, almost none of whom took part in this sad period. Today, there is the Franco-German friendship, which has only been celebrated once, on January 22, 2019. And then what... apart from a few organized events, a few political speeches, what's the point of this “masquerade”? A duty to remember, one might answer. Unfortunately, human beings have a short memory, so commemorating the victories of some or the defeats of others is not enough to avoid conflict. If it were, we would have lived in peace on this earth long ago. Current events, in Europe, the Middle East or Asia are just some of the distressing examples...

On the other hand, there are so many “world or international days”, for serious demands, sometimes; for reasons that can make you smile, often π “pi” day on March 7 and July 22, masturbation day on May 07, micro-small and medium-sized enterprises day on June 27. The Bignole goes on and on... From time to time, they are taken up by the media to give them a more or less “official” character, so that they don't fall into oblivion, or to publicize them. However, the constant in all these.

So La Bignole, this May 08, 2024 has decided to celebrate World Donkey Day initiated by Alexander Aretz. It's no more absurd than International Blogging Day on August 31, International Translation Day on September 30, International Banking Day on December 04 or any of the others mentioned above; others may consider it more (absurd). It's up to each of us to ponder the meaning of these “international or world days”, these commemorations, the duty to remember or to forget. The fact remains that the donkey was domesticated by man several millennia ago, probably before the horse, that it has been a very useful animal, and still can be.


De l'utilité des ânes...

Des ânes pour se protéger du loup, pourquoi des agriculteurs tentent l’expérience dans le massif du Jura. Les loups n’aiment pas déjà l’odeur de l’âne. À partir du moment où il y a deux ânes, ils s’allient et vont donner des coups de pied contre un renard, un loup ou un chien... L’âne, lui, il ira dedans. On ne touche pas à son territoire. (france3)

Mais attentionMi-avril, un loup avait attaqué un âne à Harschbach (arrondissement de Neuwied) et l'avait blessé avec des morsures. L'animal va désormais mieux. Le propriétaire reste sous le choc. A peine Lothar Hümmerich se tient-il à la barrière du grand pâturage situé juste à la périphérie de Harschbach que ses quatre ânes trottent lentement vers lui. Les animaux sont confiants et curieux, ils se laissent caresser et nourrir. L'ânier de 65 ans est très heureux de voir que son petit troupeau d'ânes, « Florie » en tête, va mieux. Le loup avait mordu l'animal de sept ans à deux reprises : au cou et à l'arrière de la jambe. Lothar Hümmerich montre sur des photos qu'il y avait ensuite une profonde plaie. Les blessures de l'âne attaqué de Harschbach presque guéries : La vétérinaire a fait un super travail, dit Hümmerich. Entre-temps, la blessure est presque guérie. « Florie » porte cependant toujours une cape avec des zébrures pour empêcher les mouches d'atteindre sa blessure. Sinon, les ânes auraient déjà presque oublié toute l'affaire, estime leur propriétaire. « Ils n'ont pas de traumatisme pour l'instant ». L'âne « Florie » a été retrouvé complètement trempé de sueur et avec deux morsures après l'attaque du loup. Le loup vient d'une meute de Saxe-Anhalt : Lui-même n'est pas totalement indifférent à cette attaque. Depuis cette semaine, il est définitivement établi que c'est bien un loup qui a infligé les graves blessures à son âne à la mi-avril. Une analyse ADN l'a clairement démontré, a annoncé le centre de coordination lynx et loup. Selon cette analyse, l'âne n'a pas été blessé par un loup de la meute de Hachenburg. L'analyse effectuée à l'Institut Senckenberg a révélé qu'il s'agissait d'un loup d'une meute de Saxe-Anhalt, située à environ 500 kilomètres de là. Le loup avait notamment attrapé l'âne à la patte arrière et l'avait blessé : C'est aussi pour cette raison que Lothar Hümmerich, amoureux des animaux, est désormais d'avis que les loups devraient être abattus de manière ciblée. Car ils sont trop nombreux. « Avec ce nombre, qui semble maintenant être là, on atteint lentement la limite à partir de laquelle on doit autoriser la chasse - comme pour d'autres animaux », estime Lothar Hümmerich, qui souhaite un changement de stratégie du pays en ce qui concerne le loup. Le président des agriculteurs demande l'abattage des loups à problèmes : Le président de l'association des agriculteurs et viticulteurs de Rhénanie-Nassau, Marco Weber, avait demandé la même chose en début de semaine. Les loups devraient pouvoir être abattus de manière ciblée. Cela vaut en particulier pour les animaux qui deviennent agressifs. Aucun éleveur ne veut vivre dans la peur permanente d'une attaque de loup La ministre de l'Environnement Eder évoque la promotion des mesures de protection : La ministre de l'Environnement Katrin Eder (Verts) a déclaré à la commission de l'environnement et des forêts que dans certains cas de prédation par des loups, les troupeaux n'étaient pas suffisamment protégés dans les pâturages. Eder a souligné que ce ne sont pas les loups locaux de la meute de Hachenburg qui ont tué les animaux, mais des loups de passage venant de l'est. C'est surtout au printemps que les jeunes loups de l'année précédente sont rejetés par la meute et commencent des migrations qui peuvent parfois les mener à des centaines de kilomètres du territoire d'origine de la meute. Selon Eder, la probabilité d'une attaque diminue si les animaux de pâturage sont protégés au minimum. Le Land encourage les mesures préventives ainsi que les projets d'élevage d'animaux de pâturage. L'abattage de loups est en principe interdit en Rhénanie-Palatinat. Le Land prend en charge les frais vétérinaires d'un âne blessé : Les éleveurs comme Lothar Hümmerich, propriétaire d'un âne, n'ont donc d'autre choix que de protéger leurs animaux du mieux qu'ils peuvent. Le Land, qui prend également en charge les frais vétérinaires pour le traitement de « Flories », lui verse désormais de l'argent pour une clôture de protection contre les loups. Mais il reste un sentiment de malaise et d'insécurité, dit-il

traduction automatique de l'article publié en allemand par www.swr
 ça ne marche pas toujours : Après une attaque de loup dans le Westerwald : l’âne « Florie » va mieux  (swr.de)

Harschbach (Rhénanie-Palatinat)

The usefulness of donkeys...

Donkeys to protect against wolves: why farmers are trying this experiment in the Jura mountains. Wolves already don't like the smell of donkeys. As soon as there are two donkeys, they join forces and kick a fox, a wolf or a dog... The donkey, on the other hand, will go inside. We don't touch his territory. (france3)

But it doesn't always workIn mid-April, a wolf attacked a donkey in Harschbach (Neuwied district) and injured it with bites. The animal is now doing better. But the owner is still shocked. As soon as Lothar Hümmerich stands at the gate to the large pasture on the outskirts of Harschbach, his four donkeys slowly trot towards him. The animals are trusting and curious, allowing themselves to be stroked and fed. The 65-year-old donkey owner is delighted that his small herd of donkeys, especially “Florie”, is doing better. The wolf had bitten the seven-year-old animal twice: on the neck and on the back of the leg. Lothar Hümmerich shows photos of a deep flesh wound there. Wounds of attacked donkey from Harschbach almost healed. The vet did a great job, says Hümmerich. The wound has now almost healed. However, “Florie” is still wearing a cape with zebra stripes to keep the flies away from his wound. Otherwise, the donkeys have almost forgotten the whole thing, says their owner. “They haven't suffered any trauma now.” Donkey “Florie” was found completely soaked in sweat and with two bite wounds after the wolf attack Wolf came from pack in Saxony-Anhalt : However, he himself is not completely unaffected by the attack. Since this week, it has been definitively established that it really was a wolf that inflicted the serious wounds on his donkey in mid-April. The lynx and wolf coordination center announced that this had been clearly proven by DNA analysis. According to the analysis, the donkey was not injured by a wolf from the so-called Hachenburg pack. The analysis at the Senckenberg Institute revealed that it was a wolf from a pack in Saxony-Anhalt - around 500 kilometers away. The wolf had caught and injured the donkey on its hind leg, among other things This is another reason why animal lover Lothar Hümmerich is now of the opinion that wolves should be deliberately shot. Because there are too many of them on the move. “At this number, which seems to be here now, the limit is slowly being reached where you have to allow hunting - just like with other animals,” says Hümmerich and would like to see the state change its strategy with regard to wolves. Farmers' president calls for problem wolves to be shot : Marco Weber, President of the Rhineland-Nassau Farmers' and Winegrowers' Association, called for a similar change at the beginning of the week. Wolves should be allowed to be shot in a targeted manner. This applies in particular to animals that become aggressive. No livestock owner wants to live in constant fear of wolf attacks Environment Minister Eder refers to support for protective measures : Environment Minister Katrin Eder (Greens) told the Committee on the Environment and Forestry that in some cases of wolf kills, herds had not been adequately protected on pasture. Eder emphasized that it was not the local wolves of the Hachenburg pack that had killed the animals, but migrating wolves from the east. Especially in the spring, the young wolves of the previous year are rejected by the pack and begin migrations that can sometimes lead hundreds of kilometers away from the original pack territory. Eder said that the likelihood of an attack would decrease if the grazing animals were given minimum protection. The state supports preventative measures as well as pasture animal husbandry projects. The shooting of wolves is generally prohibited in Rhineland-Palatinate. State covers veterinary costs for injured donkey, Livestock owners like donkey owner Lothar Hümmerich can therefore only protect their animals as best they can. He is now receiving money for a wolf-proof protective fence from the state, which is also covering the veterinary costs for “Florie's” treatment. But an uneasy and insecure feeling remains, he says.

automatic translation of article published by www.swr.de
: After a wolf attack in the Westerwald: donkey “Florie” is better. (swr.de)

Harschbach (Rhineland-Palatinate)

Les mulets de l’armée française ont diparus depuis 1975, mais de l'autre côté du Rhin, en Allemagne on recrute au 21 ème siècle : Vitus est la nouvelle « recrue » des chasseurs alpinsLe centre d'intervention et de formation pour les animaux porteurs 230 de la brigade de chasseurs alpins 23 à Bad Reichenhall est le seul service de la Bundeswehr qui détient des animaux porteurs et des montures. En mission militaire, les mulets et les haflingers transportent toujours des charges lourdes et des personnes là où le terrain n'est plus accessible aux véhicules de tout type. Le centre d'intervention et de formation pour les animaux porteurs 230 est l'institution centrale de la Bundeswehr pour la formation et l'utilisation des animaux porteurs et de selle. Il fait partie de la brigade de chasseurs alpins 23 en tant qu'unité indépendante. Jusqu'à quatre fois par semaine, les soldats partent avec leurs animaux pour une marche en montagne, conformément au besoin naturel de mouvement des quadrupèdes. Cette fois-ci, il s'agit d'une randonnée de ravitaillement jusqu'au refuge de montagne du Zwiesel, à 1 782 mètres d'altitude, la montagne locale des conducteurs d'animaux de bât dans les Alpes de Chiemgau. Les animaux porteurs sont alors guidés par des chasseurs alpins, les guides de montagne. Ils apprennent à s'occuper des animaux de manière professionnelle. Les futurs porteurs suivent une formation séparée de cinq semaines. La caserne du Hochstaufen abrite les soldats et les animaux du centre d'intervention et de formation pour les animaux porteurs. Le Zwiesel, la montagne locale des chasseurs alpins, domine le panorama. Le contact avec les animaux fait de la formation quelque chose de particulier. La sellerie, le chargement et le déchargement de charges ou l'entretien et la maintenance du matériel en font partie, tout comme les principes de base de la médecine vétérinaire. Dans ce contexte, la reconnaissance autonome et précoce des maladies et des blessures des quadrupèdes est très importante. En outre, les soldats doivent également suivre les animaux sur le plan physique. Les conducteurs d'animaux porteurs doivent gravir jusqu'à 600 mètres de dénivelé par heure avec environ 15 kilos de bagages dans un terrain impraticable. Cela exige une grande robustesse physique et des performances élevées. « Les soldats doivent être capables de monter et de descendre leur animal. Cela ne sert à rien de devoir enlever l'animal au soldat pendant la marche. Les soldats sont entraînés pour cela", décrit l'adjudant-chef Steven Pyko. Il est le chef de section de la troisième section de porteurs. Idéalement, les mulets sont achetés à l'âge de cinq ans. En effet, leur constitution est alors déjà suffisamment développée pour commencer l'apprentissage de la charge. En règle générale, les animaux de bât atteignent leur apogée à l'âge de dix ou douze ans. Les vétérinaires décident toutefois individuellement de la durée et de l'étendue du service des quadrupèdes en fonction de leur état de santé. Chaque mulet et chaque Haflinger utilisé comme monture possède un passeport équin. Comme pour une carte d'identité, toutes les données de l'animal y sont mentionnées. Outre le numéro d'identification, le nom et les informations médicales, les caractéristiques optiques, appelées marques, sont également mentionnées. Le nom des animaux est donné par les soldats. La première lettre dépend de l'année de naissance. Un numéro de maréchal-ferrant est gravé sur la paroi du sabot afin de permettre l'identification des nouveaux soldats. Pour des raisons de protection des animaux, les animaux ne sont pas marqués au fer rouge sur la peau. Avant de commencer la marche vers le Zwiesel, les porteurs préparent leurs animaux. Ils grattent notamment les sabots, contrôlent les fers et l'état de santé. Après avoir atteint leur destination, ici le Zwieselalm, les porteurs déchargent leurs mules et vérifient l'état des sabots et des fers. La montée vers le Zwieselalm n'est pas de tout repos. Environ sept kilomètres de chemin et 900 mètres de dénivelé attendent les soldats et leurs animaux. Pour arriver en toute sécurité sur la montagne, il ne faut pas seulement des porteurs compétents. Les animaux porteurs doivent également être sélectionnés et bien formés. Le Centre d'engagement et de formation pour les animaux porteurs 230 est lui-même responsable de l'achat des animaux. L'achat des animaux est décidé par une équipe spécialement constituée, composée d'un officier vétérinaire, d'un maréchal-ferrant et d'un conducteur de bêtes expérimenté. Comme les animaux ne peuvent pas être rendus en cas d'inaptitude, les mules font l'objet d'un contrôle particulier. Les mulets, également appelés mules, sont des croisements entre une jument et un âne. Comme les hybrides sont généralement stériles, leur élevage est soumis à des exigences particulières. Pour la brigade d'infanterie de montagne 23, il n'est pas toujours facile de se procurer les animaux. Dans certains cas, il faut recourir à des animaux provenant d'autres pays européens, comme l'Espagne. Lors de la sélection, on veille non seulement à la condition physique et à une taille d'au moins 1,50 mètre, mais aussi à la fermeté du caractère. Le mulet doit être calme, docile et droit. Il ne doit pas être fixé sur une seule personne, afin de garantir qu'il puisse être utilisé avec de nombreux soldats différents. Formation au port de charges à cinq ans, Dans la sellerie : le matériel est adapté individuellement aux animaux porteurs. Il est soigneusement entretenu et stocké. 120 kilogrammes de charge utile Tout comme les soldats, les animaux de bât doivent être très robustes. Leur châssis pèse 45 kilos et, selon leur état de forme et leur morphologie, ils peuvent transporter jusqu'à 120 kilos de charge utile. Outre les munitions, les armes ou l'équipement spécial, le bagage des quadrupèdes comprend également des denrées alimentaires ou des biens d'approvisionnement pour les refuges de montagne de la région. Le centre d'intervention et de formation pour les animaux porteurs 230 soutient depuis plus de 45 ans le refuge de l'alpage de Zwieselalm avec ses animaux porteurs pour le transport de marchandises de toutes sortes. Au cours de la saison estivale, entre 20 et 30 interventions sont effectuées, nécessitant entre quatre et douze mules, selon les besoins.

traduction automatique de l'article publié en allemand par www.bundeswehr.de
, un ânon. Pendant ce temps-là, depuis 2016, à Neuville-lès-Vaucouleurs dans la Marne, la municipalité a érigé un monument à la mémoire des ânes. Orné d’une sculpture d’un poilu serrant un âne dans ses bras, c'est un œuvre d’un artiste meusien Denis Mellinger, il est le seul monument dédié aux « ânes-soldats » en France. De nombreuses armées ont utilisé l'âne, et voici deux photographies de Moïse, âne mascotte, prises au cours de la première guerre mondiale, à Louvencourt dans la Somme, par un militaire Néo-Zélandais vraisemblablement.

The French army's mules have been dead since 1975, but on the other side of the Rhine, in Germany, they're recruiting in the 21st century. Vitus is the new “recruit” of the Alpine hunters,The Carrier Animal Intervention and Training Center 230 of the Alpine Hunter Brigade 23 in Bad Reichenhall is the only Bundeswehr unit to hold carrier animals and mounts. On military missions, mules and haflingers always carry heavy loads and people where the terrain is no longer accessible to vehicles of any kind. The Intervention and Training Center for Carrier Animals 230 is the Bundeswehr's central institution for the training and use of carrier and saddle animals. It is part of the Alpine Hunter Brigade 23 as an independent unit. Up to four times a week, the soldiers set off with their animals for a mountain walk, in line with the natural need for movement of four-legged animals. This time, it's a supply hike to the Zwiesel mountain hut at 1,782 meters above sea level, the local mountain for pack animal drivers in the Chiemgau Alps. The pack animals are then guided by alpine hunters, the mountain guides. They learn to look after the animals in a professional manner. The future carriers undergo a separate five-week training course. The Hochstaufen barracks is home to the soldiers and animals of the intervention and training center for carrier animals. The Zwiesel, the local alpine hunter's mountain, dominates the panorama. Contact with the animals makes training something special. Saddlery, loading and unloading, equipment care and maintenance are all part of it, as are the basic principles of veterinary medicine. In this context, independent and early recognition of quadruped diseases and injuries is very important. Soldiers must also keep a close eye on their animals' physical condition. Carrier drivers have to climb up to 600 meters per hour with around 15 kilos of luggage in impassable terrain. This demands great physical robustness and high performance. “Soldiers must be able to mount and dismount their animals. There's no point in having to take the animal away from the soldier during the march. Soldiers are trained for this,” describes Chief Warrant Officer Steven Pyko. He is the section leader of the third section of carriers. Ideally, mules are purchased at the age of five. By then, their constitution is sufficiently developed for them to start learning to load. As a rule, pack animals reach their peak at the age of ten or twelve. However, veterinarians decide individually on the length and extent of the four-legged animals' service, depending on their state of health. Every mule and Haflinger used as a mount has an equine passport. As with an identity card, all the animal's details are recorded on it. In addition to the identification number, name and medical information, the optical characteristics, known as markings, are also recorded. The names of the animals are given by the soldiers. The first letter depends on the year of birth. A farrier's number is engraved on the hoof wall to identify new soldiers. For animal protection reasons, the animals are not branded on the skin. Before starting the march to the Zwiesel, the carriers prepare their animals. In particular, they scratch the hooves, check the shoes and the state of health. Once they've reached their destination, here the Zwieselalm, the porters unload their mules and check the condition of their hooves and shoes. The ascent to the Zwieselalm is no easy task. Some seven kilometers of road and 900 meters of ascent await the soldiers and their animals. To reach the mountain safely, not only skilled porters are needed. The animals must also be well selected and trained. The Training and Engagement Center for Carrier Animals 230 is responsible for purchasing the animals. The purchase of animals is decided by a specially constituted team comprising a veterinary officer, a farrier and an experienced animal handler. As animals cannot be returned if they are unfit, mules are subject to special controls. Mules are crosses between a mare and a donkey. As hybrids are generally sterile, their breeding is subject to special requirements. For Mountain Infantry Brigade 23, it's not always easy to get hold of the animals. In some cases, we have to resort to animals from other European countries, such as Spain. During selection, attention is paid not only to physical condition and a height of at least 1.50 meters, but also to firmness of character. The mule must be calm, docile and upright. It must not be attached to just one person, to ensure that it can be used with many different soldiers. In the tack room: the equipment is individually adapted to the load-bearing animals. It is carefully maintained and stored. 120 kilogrammes de charge utile Tout comme les soldats, les animaux de bât doivent être très robustes. Leur châssis pèse 45 kilos et, selon leur état de forme et leur morphologie, ils peuvent transporter jusqu'à 120 kilos de charge utile. Outre les munitions, les armes ou l'équipement spécial, le bagage des quadrupèdes comprend également des denrées alimentaires ou des biens d'approvisionnement pour les refuges de montagne de la région. Le centre d'intervention et de formation pour les animaux porteurs 230 soutient depuis plus de 45 ans le refuge de l'alpage de Zwieselalm avec ses animaux porteurs pour le transport de marchandises de toutes sortes. Au cours de la saison estivale, entre 20 et 30 interventions sont effectuées, nécessitant entre quatre et douze mules, selon les besoins.

automatic translation of article published by www.bundeswehr.de
a colt. Meanwhile, since 2016, the municipality of Neuville-lès-Vaucouleurs in the Marne region of France has erected a monument to the memory of donkeys. Adorned with a sculpture of a poilu hugging a donkey, it is the work of Meuse artist Denis Mellinger, and is the only monument dedicated to “donkey soldiers” in France. Many armies used donkeys, and here are two photographs of Moïse, a donkey mascot, taken during the First World War, probably by a New Zealand soldier, at Louvencourt in the Somme. 

Une courte, très courtes bibliographie d'histoires d'âne

Peau d'âne vue d'une Loge... de Potière, un court texte avec Mame Potin et Mame Radis, le palais du Roi Pati-Pata ou le palais de l'âne, le roi Couci-Couci et le prince Bel-Azor, c'est en 1868

Peau d'âne illustré

Les mémoires d'un âne par Madame la Comtesse de Ségur de la Bibliothèque rose illustrée, une édition de 1894, avec à la clé, 75 vignettes illustrées à decouvrir '(en téléchargement 76Mo)

Histoire d'un âne , par l'Athénée de Montmartre, dédiée à tous les ânes de la France...de 1802, Asiniana, ou Recueil de naïvetés et d'âneries par Cousin d'Avallon, dédié à Athénée de Montmartre, l'âne parlant, la liste des races asines de France

A short, very short bibliography of donkey stories

Peau d'âne vue d'une Loge... de Potière, a short text with Madame Potin and Mame Radis, the palace of King Pati-Pata or the donkey's palace, King Couci-Couci and Prince Bel-Azor, in 1868.

Peau d'âne illustrated

Les mémoires d'un âne by Madame la Comtesse de Ségur from the Bibliothèque rose illustrée, an 1894 edition featuring with 75 illustrated vignettes to discover. (76Mo download)

Histoire d'un âne , by Athénée de Montmartre, dedicated to all the donkeys of France... from 1802, Asiniana, ou Recueil de naïvetés et d'âneries by Cousin d'Avallon, dedicated to Athénée de Montmartre, the talking donkey, list of French donkey breeds


27 avril 2024